• « Je voudrais savoir si, dans le cas des addictions, l'EFT peut suffire», demande Sylvie avant de s’inscrire pour la journée de pratique dédiée au traitement des addictions avec l’EFT. Car se défaire d’une addiction, bien enracinée, peut sembler si difficile qu’on a du mal à imaginer comment un simple outil tel que l’EFT peut produire un résultat. Le témoignage de Sylvie, suite à l’expérience à laquelle elle s’est prêtée, est très éclairant sur l’efficacité de cette pratique.

     

    J’ai participé à un atelier EFT et Addictions … tout un programme. J'étais à la fois curieuse et sceptique.

     

    Je ne suis pas praticienne en EFT, mais je connais les principes de base pour avoir suivi la 1ère partie de la formation.

    Au cours de la journée, étant concernée par l’addiction à la cigarette, je suis d’accord pour servir de « cobaye ».

    La phrase qui s’est présentée pour formuler ma demande est d’arriver à moins fumer.

    Un des stagiaires se propose pour mener la séance (avec l’aide de Johanne et des autres stagiaires).

     

    Je vais essayer de faire le déroulé de la séance, mais honnêtement, je ne suis pas sûre de la retranscrire correctement, tellement le résultat m’a bluffée, j’ai oublié tout le reste …

     

    Avec les premières questions, je réalise que je fume par habitude, par mécanisme.

    On tapote sur cette habitude et le niveau d’inconfort baisse un peu, mais pas suffisamment. On refait une ronde, et là, le niveau baisse réellement.

     

    Il en ressort une autre émotion qui est que d’arrêter de fumer me fait peur. Peur de perdre quelque chose. Mais quoi ? Aucune idée. Pas de soucis, on tapote quand même.

    On choisit de travailler sur une situation dans laquelle la cigarette est importante. La première qui me vient est le fait de sortir sur la terrasse pour fumer.

    On tapote sur cette situation et au bout de quelques minutes à peine, la terrasse ne m’attire plus tant que ça. Le fait de visualiser que je n’y vais plus pour fumer ne m’angoisse pas du tout, au contraire, cela me ferait presque rire. L’envie d’avaler la fumée a disparu aussi.

     

    Comme je l’ai dit plus haut, je ne me souviens plus exactement du déroulé de la séance qui a duré à peine 15 mn pourtant.

    A la fin, je ressentais un détachement réel vis-à-vis de la cigarette. C’était vraiment impressionnant et même un peu fou que ce soit si facile. Mais pourtant bien réel.

    Le soir même, je n’avais pas envie de fumer. Mon mental s’en est mêlé et a insisté pour que je fume une cigarette (l’habitude). Je l’ai écouté pour « voir » où j’en étais. Et bien, cette cigarette n’était pas bonne du tout !

    Quelques jours après cette séance, je fume clairement moins.

     

    Après cette expérience, je peux dire que l’EFT est une technique puissante, simple et facile à reproduire. Et c’est vraiment impressionnant.

    Les Ateliers sont intéressants mais le fait de vivre une séance est réellement puissant.

     

    Merci à Johanne de tout ce travail, de sa passion, de son dynamisme, de son partage.

    Merci aux stagiaires d’avoir joué le jeu.

     

    Note de Johanne : Ici, Sylvie a seulement souhaité avoir « moins envie de fumer ». Une première étape réussie, donc.

    Il convient de préciser que le travail, s’il est enclenché, peut nécessiter quelques séances supplémentaires. La cigarette n’est qu’un substitut et une investigation pour traquer le problème de fond, l’anxiété et les contributeurs émotionnels en amont sont conseillés pour répondre à la question de Sylvie. Oui, l’EFT est efficace pour résoudre une addiction… avec des effets durables !

     

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    blog de Johanne DESTEREL, http://eft-autonomie.eklablog.com


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    Le témoignage de Sandrine illustre la façon dont l’EFT permet de remettre en mouvement des émotions enfouies que nous n’avons pas pu, pas su ou pas voulu exprimer au moment d’événements douloureux.

    Lorsqu’ils ne sont pas entendus, ces ressentis refoulés se manifestent de diverses façons, jusqu’à des années plus tard, comme les douleurs dont souffre Albertine, la cliente de Sandrine

     

    Albertine, une femme de 81 ans, souffre de diverses douleurs, des douleurs ressenties dans la journée et qui perturbent fortement ses nuits. Cela dure depuis de très nombreuses années. Au début, elle n'en a pas fait cas. Puis, ces douleurs sont devenues tellement courantes qu'elle s'est décidée à passer (et repasser) des examens médicaux, à chaque fois le même diagnostic : rien.

    Des médecins lui ont suggéré que ces douleurs pouvaient être d'origine psychosomatique.

     

    Je m’informe sur ses douleurs et ses ressentis physiques, à quel endroit, elle ressent ces douleurs ?  Elle me répond que « les douleurs sont diffuses ». Je lui demande « Si vous deviez en identifier une aujourd’hui, peut-être plus forte que les autres, ou plus présente,  quelle serait-elle ? ». Mais il lui est difficile de sortir de ces sensations « diffuses ». C’est donc avec cela que nous commençons et tandis que nous tapotons sur « ces douleurs diffuses », « je ne sais pas trop où »... une zone se rappelle à son attention, plus particulièrement. Nous nous centrons sur cet endroit de son corps et nous tapotons sur les sensations qu’elle décrit à cet endroit-là.

    Le «petit mieux » qu’elle peut voir est bien léger. Je continue l’investigation « depuis quand  souffrez-vous? », « vous vous souvenez de la première fois où vous avez ressenti ça ? ».  Elle reste silencieuse. C’est alors que je lui demande :

    « Qu’est-ce que ces douleurs vous empêchent de faire ? »

     

    Rapidement, des émotions remontent. Elle dit « Je dois souffrir ».

    Je lui demande de me préciser ce qu'elle entend par là et d’où lui vient cette idée: « Mon mari est mort d'un cancer à 40 ans, il a énormément souffert et je n'ai rien pu faire pour l'aider». Elle se met à pleurer.

     

    Il n’y a pas besoin de la replonger dans ces souvenirs difficiles, ils sont bien présents. Je lui demande alors : « Quand vous me parlez de la mort de votre mari, quelle est la pire des images qui vous revient, qui s’impose à vous ? », Elle me répond sans hésiter : « Je le revois à l’hôpital, sur le lit, les traits de souffrance sur son visage. J’ai souhaité sa mort, je ne pouvais rien faire pour alléger ses souffrances. J’ai tellement honte d’avoir souhaité sa mort ». Elle pleure, culpabilise 40 ans plus tard d'avoir eu cette pensée. Elle ne l'avait jamais dit. 

    « Vous parlez de honte... allez voir ce qui se passe à l’intérieur de vous quand vous avez ce sentiment, cette émotion? ». Elle répète seulement « je ne pouvais rien faire ». C’est cette phrase que nous prenons pendant qu’elle se centre sur cette sensation difficile. D’autres  images de ce moment remontent, l’une après l’autre… Nous tapotons sur chacune d’elles. Progressivement, elle ressent un apaisement, comme une libération.

     

    Comme elle était venue pour des douleurs, je lui demande si elle ressent encore un endroit douloureux dans son corps ou peut-être dans la zone qu’elle m’avait indiquée précédemment. Mais visiblement, ce n’est plus d’actualité. Comme notre séance a déjà été un peu longue, je lui propose qu’on se revoie.

     

     Albertine revient trois semaines plus tard. Immédiatement, je vois son visage plus ouvert, lumineux, rayonnant. Elle m'annonce : "Depuis la séance, ma vie a changé à 100%, je n'ai plus de douleurs ! J’ai retrouvé de l'envie et de l'entrain. Mon entourage ne me reconnaît pas". Afin de valider ce qu’elle me dit je la provoque un peu : « Plus du tout de douleur ? », « Vraiment ?».  Elle confirme, avec un grand sourire. 

     

    Sandrine MOREAU

    Sophrologue - Praticienne en EFT

    Toulouse - 06 20 35 42 63

    www.sophrologie31.net

     

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    blog de Johanne DESTEREL, http://eft-autonomie.eklablog.com

     


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    L’EFT, outil de libération émotionnelle et très simple à utiliser, permet de traiter tous types de maux. Voici l’exemple de l’application de la méthode sur un cas concret de phobie.

    J’ai eu l’occasion de pouvoir appliquer l’EFT auprès d’une personne phobique des reptiles. Ainsi, celle-ci m’indique qu’elle a programmé un voyage en fin d’année en Martinique et appréhende la rencontre éventuelle avec des iguanes, lézards. Plusieurs mois avant le départ, l’objet de cette possible rencontre  provoque de grandes peurs et angoisses.

    La phobie s’exprime surtout envers les sauriens, c’est-à-dire les lézards mais très peu envers les serpents. La vision même du corps, des écailles et de la forme de la tête suffisent à lui faire éprouver peur, angoisse et besoin de fuir.

    Après quelques échanges, elle m’explique qu’enfant son grand-père avait dans son garage des iguanes empaillés. Elle garde une image figée en tête de ces « créatures » accrochées au mur, particulièrement un jour où la pénombre s’était invitée dans le lieu, la lumière étant restée éteinte. Cette personne encore enfant à l’époque, les avait imaginés encore vivantes mais aussi menaçantes, pouvant l’attaquer à tout moment.

    Nous avons appliqué la méthode de l’EFT à ce souvenir en traitant les différents aspects du problème. Je lui  propose de regarder ce moment qui est remonté comme si c’était un film, et de lui donner un titre.  Ce fut: « Iguanes empaillés dans le garage ». . Elle a ressenti un flot d’émotions que nous avons traité l’une après l’autre en prenant le soin de mesurer l’intensité (0 à 10) Les premières rondes lui firent traverser une sensation profonde de dégoût, son corps exprimant une envie de vomir, « une boule dans la gorge » à 8 au départ. Nous avons réalisé plusieurs rondes sur cette sensation qui a pu disparaître. Dans un second temps est survenue une autre sensation, celle du manque, du père disparu. Nous avons continué les rondes en traitant cette impression de manque que Madame L. ressentait au niveau du cœur comme un « trou noir ». Après deux rondes, Madame L. a pu laisser remonter la tristesse, s’en est ensuite suivie une sensation de soulagement.

    L’EFT est un véritable outil d’exploration de nos émotions qui nous emmène par sa pratique à la rencontre d’émotions plurielles. C’est ce qui fait toute la richesse de cet outil. 

    Quelques semaines plus tard, Madame L. est de retour au cabinet afin de faire le point sur la dernière séance. Elle m’informe qu’elle a « testé sa phobie » en regardant un documentaire animalier. Elle a été surprise de se sentir sereine et de pouvoir poser les yeux sans dégoût sur cet animal qui la tétanisait il y a peu de temps de ça.

    Nous avons convenu après cela, que si nécessaire, nous redéfinirions une autre séance avant le voyage.

    Dans le cas exposé ici, cela n’a pas été nécessaire.

    Karine Monestes – Agen
    Psychologue  et praticienne EFT et Zensight
    06 03 64 61 52
     

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    blog de Johanne DESTEREL, http://eft-autonomie.eklablog.com

     


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  • Nadine osait à peine y croire: le Zensight a tout simplement transformé son quotidien dès la première séance. Elle m'a aussitôt adressé ce témoignage:

    Je voulais témoigner.

    Je suis arrivée chez Johanne pour un problème dont je n’arrivais pas à venir à bout depuis plusieurs mois, avec beaucoup de pensées négatives dont je ne pouvais pas me libérer, ce qui nourrissait mon état anxieux. J’étais même suivie par un psychothérapeute, sans vraiment de résultats, j’avais l’impression que j’étais dans une spirale dont je ne me sortirais jamais.

    Depuis l’annonce, 8 mois plus tôt, du projet de mon fils de partir faire le tour de France en camping-car, je me débattais avec une souffrance intérieure, une inquiétude qu’il arrive quelque chose à ma petite fille de 2 ans et demi. Quand je la gardais et qu’elle devait partir, je faisais de gros efforts pour ne pas montrer un sentiment de tristesse et d’inquiétude qui me saisissait, j’interprétais tout à travers ce filtre de souffrances.

    Mon fils et ma belle-fille habitent dans le même village que moi... Je trouvais des prétextes pour aller chez lui ou le faire venir pour un faux service. La veille de demander de l’aide à Johanne, je tournais encore autour du pâté de maisons où habite mon fils avant de pouvoir frapper chez lui pour voir si tout allait bien.

    Je voyais bien que mon comportement n’était pas normal avec toujours ce besoin de me rassurer ou de vouloir contrôler la vie de mon fils et ma belle-fille envers la petite. Dans cette souffrance, je m’empêchais même de partir en week-end au cas où…

    Johanne m’a proposé de traiter cette situation avec le Zensight, technique que je ne connaissais pas.

    Le résultat a été étonnant ! En plus de l’apaisement immédiat que ça m’a procuré, j’ai noté que mon comportement avait changé, sans que j’aie à faire d’efforts.

    L’obsession de vouloir toujours savoir ce qui se passait m’a quittée... Je me découvre une nouvelle liberté, je ne me sens plus le besoin d’aller les voir constamment ; et voir ma petite fille un jour par semaine me suffit. Je n’angoisse plus. C’est comme si j’avais éliminé des détritus ou quelque chose qui m’empêchait de vivre. Je m’étais comme emprisonnée moi-même sans trop savoir comment. Ça me fait comme un nettoyage. J’ai retrouvé ma joie, une joie simple, une joie grandie.

    J’ai pu prendre conscience aussi que mes peurs ont pour origine des blessures remontant à mon enfance, avec des blessures d’abandon.

     Cette technique m’a paru très puissante. Je sens que ce « travail » continue d’agir en moi. L’inquiétude a « magiquement » disparu. Aujourd’hui je me sens même plus sereine. Et ça me fait drôle...

     Comme tout part de soi, à cause de mon changement intérieur, je remarque que le comportement de ma petite fille change, elle ne fait plus de crise quand elle doit repartir chez ses parents. La visite de mon fils (avec la petite), le samedi suivant la séance alors qu’il ne vient jamais pour bavarder avec moi, a été très détendue. Il a pris son temps et nous avons même ri ensemble ; il y a bien longtemps que ça ne nous était pas arrivé. J’ai le sentiment que chacun retrouve sa place.

    Merci à cette difficulté qui m’a permis de rencontrer un tel outil de transformation intérieure.

    Merci à Johanne, merci au Zensight, qui m’ont permis de retrouver une paix en moi, cette envie d’avancer dans ma vie, de me sentir libre, et de rendre la liberté à mon fils pour construire sa vie de famille. Et tout cela très facilement.

    Je trouve cet outil tellement merveilleux que je me suis inscrite à la prochaine formation.

    Merci, merci, merci.

    Nadine B.

     

    Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources:
    blog de Johanne DESTEREL, http://eft-autonomie.eklablog.com

     


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  • En lisant le témoignage de Marie-José, « Toujours en retard », j’ai eu envie d’écrire le mien.
    C’est vrai que nous ne prenons pas toujours le temps d’exprimer toutes ces guérisons que nous vivons. Et pourtant, elles sont d’une si grande utilité pour les autres…

    J’ai eu la chance d’avoir deux petites séances avec Johanne. Et je dis « petites » car elles ont été relativement courtes en durée, et en même temps, elles ont été profondes et efficaces.


    Dans la première, je souhaitais aborder un comportement avec la nourriture. Un sentiment d’avidité qui me faisait manger un peu trop et trop vite. Malgré toute ma bonne volonté de manger doucement et en conscience, mes bonnes résolutions ne duraient pas, je finissais par revenir à mes bonnes habitudes de « me goinfrer » !

    L’image que j’avais choisie comme signal de traitement*(voir note de Johanne ci-dessous) était « soleil », et elle se transforma au bout de quelques phrases en un autre signal : « caresse », plus tactile.

    Et j’ai vécu la dernière partie de la séance en ressentant comme une main invisible qui donnait de douces caresses à mon ventre, ce qui m’apaisait peu à peu, effaçant complètement cette sensation de « vide » que même la nourriture n’arrive pas à combler.

     

    Le jour même, mon mari me fait remarquer que j’avais mangé beaucoup plus lentement (alors que je n’avais même pas pensé à le faire de façon volontaire), et le soir, nous sommes allés manger une crêpe au restaurant, et je n’ai même pas pu la finir, car je me suis arrêtée tout simplement, en sentant que je n’avais plus faim.

     

    Quelques jours plus tard, nous avons fait une autre séance pour des « migraines », de fortes douleurs de tête, accompagnées de vomissements et que j’avais tendance à appeler « mes crises de foie ». Peu importe le nom, car nous avons traité les symptômes et tout ce qui va avec comme les sensations physiques, les croyances, les peurs, les sentiments d’impuissance etc.

    Au bout de quelques phrases, je commençais à avoir des bâillements, le ventre qui gargouille, signes que l’énergie commençait à bouger.

    Mais le plus touchant pour moi, c’est l’image qui s’est imposée à moi, une image presque réelle puisque accompagnée de sensations que j’avais l’impression de vivre dans mon propre corps. C’était l’image d’un bébé, un bébé complètement crispé par la peur, l’impuissance et le sentiment d’abandon. Je pouvais toucher sa crispation.

    Et à chaque signal « caresse », c’était une caresse que je lui faisais et qui le rassurait et le calmait peu à peu. Je pouvais sentir comment, petit à petit, il se détendait, relâchant toute la souffrance et la crispation qu’il avait gardées. Etonnant de simplicité

    Vers la fin de la séance, le signal « caresse » laissa la place aux mots « merci, je t’aime » qui remplissait tout mon être d’amour et gratitude.

    A la fin de la séance, je sentais tout mon corps vibrer jusqu’au bout de mes pieds.

    Ce fut merveilleux, et j’ai gardé après un sentiment de joie et de vitalité.

     

    Je dois dire qu’une des phrases qui rentrèrent au plus profond de mon être fut celle que Johanne appelle de « guérison quantique », où notre guérison peut s’étaler aussi autour de nous : « Je laisse se propager ces guérisons à tous les niveaux de mon être, physique, mental, spirituel, sur tous les plans d’existence et à tous les âges, passés, présent et futur » et surtout les phrases qui affirment que  « ces guérisons s’effectuent pour mon plus grand bien et le plus grand bien de tous »

    Je souhaite donc rendre hommage à cet outil qui peut nous accompagner tout en douceur, et en même temps de façon profonde et durable, dans cette transformation intérieure que nous vivons peut-être plus intensément encore à l’heure actuelle.

    Et bien sûr, remercier Johanne, qui est devenue à mon avis, une véritable artiste dans cet art de la vision zen, qui est la signification du mot Zensight.

     M. E.

     

    Note de Johanne :

    La pratique du Zensight repose sur l’utilisation d’une image neutre, ou positive qu’on choisit au départ. Pour plus de compréhension, se reporter à la page de mon blog :

    http://eft-autonomie.eklablog.com/le-procede-zensight-a1518823

     

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