• C’est souvent dans la famille qu’on souhaite exercer ses premiers « talents » en EFT...  et c’est aussi très souvent là qu’il est difficile de faire des émules.  Pour Yves, cette « reconnaissance » est un des nombreux cadeaux de la vie avec l’EFT.

    Témoignage effectué en juin 2013. Yves est praticien en EFT.

     
         Je me suis rendu à l’hôpital pour accompagner ma mère qui après trois œdèmes pulmonaires en trois jours donnait à penser qu’elle vivait ses derniers moments sur cette terre. Je n’ai pu m’empêcher de la tapoter un peu, bien motivé en plus par cette semaine passée durant laquelle j’ai suivi  assidûment le congrès EFT. Il ne s’est rien passé de particulier mis à part que le lendemain elle apprenait qu’elle sortait de l’hôpital pour réintégrer sa maison de retraite ! Son passage sur terre n’était donc pas terminé à l’étonnement général de son environnement médical...


         Ma sœur qui, étant sur place s’occupe de gérer son quotidien, se trouvait dans un état de fatigue extrême, voire dépressif. Elle me dit qu’elle n’en pouvait plus du comportement de maman envers elle, qui était devenu insupportable. Non seulement elle n’avait aucune reconnaissance de sa part mais en plus Maman faisait ses coups par derrière dès qu’elle n’obtenait pas immédiatement ce qu’elle voulait même si c’était en parfaite contradiction avec ce qu’elles avaient convenu ensemble auparavant. Pour donner un exemple, Maman a téléphoné directement de l’hôpital à sa maison de retraite afin de se faire parvenir, dissimulé dans des couches que ma sœur devait lui apporter, un médicament …


        J’ai proposé, sans réfléchir, une séance d’EFT à ma sœur (Il me faut vous expliquer que jusque là, mes démarches dans le domaine énergétique étaient jugées plus que bizarres et même farfelues dans la famille ; en tout cas elles sortaient de leur cadre). Contre toute attente, ma sœur a spontanément accepté.

         Elle ne pouvait parler à personne de cette histoire de médicament car elle ne pouvait même pas en prononcer le nom tant les pleurs surgissaient aussitôt, rien qu’en y pensant. Pour ne plus le voir, elle avait d’ailleurs caché le tube, que je lui demandai de me confier. En fin de séance,  j’ai sorti le tube de ma poche et l’ai posé devant nous. Elle me dit : « ça ne me fait plus rien... alors là... j’y comprends plus rien, c’est bluffant ton truc, je suis scotchée !» .


         Sur ce arrive l’une de ses filles, Anne, et ma sœur lui raconte ce qui venait d’arriver : « ... j’te jure ma fille, je suis carrément scotchée, j’y comprends rien, c’est fou !» , et celle-ci de répondre : « Dis donc Tonton, j’ai  quelque chose  qui me gâche la vie depuis deux ans , c’est comme une aiguille dans ma hanche droite et j’ai eu beau en parler à plusieurs personnes du corps médical, ce mal reste entier pour moi. Ca marcherait pas ton truc pour ça ? » . Le temps de troquer un repas chez elle contre une séance dans la foulée et nous voici, Anne, sa sœur (jumelle), ma sœur et moi-même à nous tapoter dans une ronde familiale.


         Trois quart d’heure plus tard, l’aiguille avait disparue. Anne demanda à sa sœur de l’aider à retrouver ce point mais ce fut en vain. « Oui mais y’a des fois je ne le sens pas, c’est pas toujours.... c’est quand même bizarre, et puis c’est pas possible. Ecoute, Tonton, je te dirai dans quelques jours, il faut attendre pour voir ».


        J’ai reçu de sa part une semaine après, un merveilleux mail : « Coucou, tu sais, je ne sens plus du tout ma douleur a la hanche ! As-tu déjà fait l’expérience de faire arrêter quelqu’un de fumer ? » 


         Le lendemain une autre des filles de ma sœur passe chez elle et... rebelote ... et ça a marché !

     
         Afin de soulager ma sœur du poids qu’elle portait, vis à vis de ma mère, je lui ai proposé que si elle ressentait un inconfort avec Maman lors de l’une de ses prochaines visites, eh bien qu’elle compose mon N° de téléphone et qu’elle me la passe. Dès le lendemain, c’est arrivé. J’ai eu Maman au téléphone et sans avoir même à tapoter j’ai suivi le cheminement de l’EFT. « Maman, même si tu as caché ces médicaments dans les couches, même si tu as... eh bien nous tes enfants on t’aime et on t’accepte exactement comme tu es ». Un grand silence a suivi et d’après ce que m’a dit ma sœur, Maman s’est calmée immédiatement.

     
        Un séjour « professionnel » cette fois est prévu, regroupant les proches (amis et famille... et à leur demande !) pour profiter plus complètement des bienfaits juste entrevus pour le moment avec l’EFT.


         Une semaine s’est écoulée et au moment même  où je finis cette lettre, j’apprends que Maman vient à nouveau d’être hospitalisée … ?


              Que la paix et  la sérénité  soient maintenant aux premières loges,

              Toute la richesse spirituelle de cette pratique est au rendez-vous.

              Après tout nous n’avons parlé que d’Amour   !


    Yves GUENOUX

    47170 MEZIN
    05 53 65 99 94 - 06 81 32 23 68

    yves.guenoux@gmail.com

     

    Si vous partagez ce témoignage, merci de citer vos sources:
    blog de Johanne DESTEREL, http://eft-autonomie.eklablog.com

     


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  • "Psychologue clinicien, psychothérapeute, conseiller en Fleurs de Bach, je suis curieux de découvrir de nouveaux outils, de nature à accompagner les patients et à leur permettre d'avancer sur leur chemin.


    Sur mon parcours, j'ai eu l'occasion de faire la rencontre de Johanne. Ayant apprécié son approche et sa qualité d'écoute, mais aussi ayant pu vérifier la pertinence de l'EFT dans ma propre vie et ses réelles capacités d'action, j'ai décidé de me former à la méthode. Les stages de niveau I et II enseignés par Johanne ont été une source d'enrichissement personnel et professionnel et l'occasion de belles rencontres avec les autres participants. Passionnée par son art, dotée de belles qualités d'écoute et d'empathie, elle a su nous faire partager son enthousiasme pour la méthode mais aussi nous transmettre un savoir faire.


    Aujourd'hui, poursuivant mes consultations en Dordogne et parfois à Bordeaux, j'utilise assez régulièrement l'EFT et découvre toujours plus ses réelles capacités de soulagement pour mes patients.

     
    Merci à Gary Craig d'avoir impulsé cette méthode et merci à Johanne pour sa générosité et la qualité de sa transmission."

     

     Bruno Perret
    perret.bruno@hotmail.fr
    0612282603
    www.psychologue-a-domicile.com

     


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  • Pratiquant le Reiki, Hélène a l’habitude du travail à distance. Aussi a-t-elle eu tout naturellement l’idée d’appliquer l’EFT dans ce contexte.


    Lundi dernier une amie m'a appelée car cela faisait plusieurs semaines qu'elle était réveillée la nuit par le même cauchemar. Evidemment cela générait beaucoup d'angoisses et la fatigue commençait à s'installer.

    Autre conséquence, elle appréhendait de plus en plus de conduire sa voiture car dans son cauchemar elle avait un accident avec sa voiture qu'elle ne maîtrisait plus.

    Venant de découvrir l’EFT, j’ai pensé tout de suite que je pouvais l’utiliser à cette occasion. Je me suis souvenu que l’on peut tapoter sur soi pour quelqu’un et pratiquer l’EFT « par transfert »*

    J'ai travaillé avec elle sur son angoisse (à 10 au départ ), lui disant que j’allais utiliser une méthode apprise au cours du WE précédent, sans lui expliquer quoi que ce soit d’autre. Je lui ai juste demandé de penser à moi pendant que je tapotais sur moi, utilisant ce qu’elle m’avait décrit, les endroits de son corps où elle sentait cette angoisse et comment c’était…

    Quand je l'ai laissée, elle avait encore une toute petite gêne, mais elle se demandait surtout comment j'avais fait !!....

    Comme il était tard, je lui ai simplement dit que je lui expliquerais tout ça le WE suivant puisque nous devions nous voir. 

    En cours de semaine,  j'ai eu de ses nouvelles : elle ne se réveille plus la nuit et n'a plus d'angoisse en montant dans sa voiture.  Elle est ravie mais intriguée par ce que j’ai fait pour que l’amélioration soit aussi rapide.

    Et moi, depuis, je l'utilise pour tout ....... on ne m'arrête plus !! Les douleurs dans les jambes de mon mari, les lunettes que je n'arrive pas à mettre depuis 3 ans (verres progressifs !), les enfants que j'ai en plongée et qui sont "intenables" (sic !), et c'est incroyable car ça marche !

    Merci encore pour tout ce que tu m'as apporté !

    Excellente semaine à toi.

    Hélène
    Bordeaux
    06 83 97 73 47

    * Pour mieux comprendre ce qu'est  le travail par "transfert", vous pouvez voir l'application sur les animaux dans l'article "La tourterelle"

     


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  • Dans le « Processus de Paix Personnelle » qu’il nous propose comme « outil de premier choix », Gary Craig nous dit qu’en nous orientant vers notre paix personnelle nous obtenons un effet sur la paix mondiale, planétaire.

    Après quelques mois d’EFT seulement, découvert au cours d’un atelier de formation, Josie note des transformations dans son monde environnant et remarque les changements impressionnants qu’elle voit se produire dans sa vie et autour d'elle.

     

    Il y a  22 ans, j’ai dit « stop » à une situation conjugale difficile avec un mari qui avait des maîtresses et qui me battait ! Je suis alors partie en emmenant mes 3 enfants.

    Ayant beaucoup d’affection pour ma belle famille, une affection partagée, j’ai toujours gardé contact avec elle. Je ne suis pas entrée dans les détails au sujet de cette séparation ni sur les comportements violents de mon mari. Je ne savais pas comment il avait expliqué les choses de son côté, et personne ne m’a posé de questions.

    Cette famille était très gentille avec moi, et je ne disais pas de mal du père de mes enfants. Le problème était à l’intérieur de moi, entre moi et… moi.

    Ce n’est qu’il y a 2 ans que j’ai appris, en retrouvant des neveux et nièces éloignés, qu’il avait raconté que j’étais partie dans une secte ! Venant de lui, je ne me suis pas étonnée qu’il ait préféré me donner le mauvais rôle.

    Dernièrement, ma belle-mère est décédée, et je suis partie à ses funérailles, autour de mes enfants, à l’autre bout de la France. La veille de la sépulture, le soir, la famille s’est réunie et nous avons mangé tous ensemble.

    Et c’est là que s’est produit ce qui pourrait ressembler à « un miracle ». Le père de mes enfants a dit, devant tout le monde : « J’ai une déclaration à faire. Voilà : il y a 22 ans, j’ai fait beaucoup de mal à Josie. Je voudrais lui demander pardon de lui avoir fait tout ce mal. J’ai dit des choses… et c’était pas vrai. Je m’en excuse… ».

     Je me suis alors levée et je lui ai dit : « J’accepte tes excuses », sans rien dire d’autre.

    Je me suis dit « Ca, c’est le travail que j’ai fait avec l’EFT qui l’a rendu possible». Parce que ce n’est pas un homme à se comporter comme ça, c’est un homme de poigne, habitué à commander, qui jamais ne ferait des excuses à qui que ce soit… C’est vrai que ce soir-là, il avait de la peine et que ça l’a peut-être aidé à présenter ces excuses inattendues…

    Dans le regard de mes enfants, ce que j’ai vu était magnifique ! Je me suis dit « Merci la vie  d’avoir permis ça ».

    Pendant ces 22 ans, il nous était arrivé de nous retrouver dans des événements familiaux autour de nos enfants, mais ça restait toujours distant : « Bonjour/bonjour », «  Ca va ?/ Ca va » . En 22 ans nous n’avions jamais eu une conversation ! 

    Ce que j’ai vécu là,  ça fait partie de ce que je vis depuis que j’ai découvert l’EFT. Je sens « un relâchement » en moi et je vois des choses se dénouer. Avec le travail que je fais sur moi en EFT, je me sens plus calme, j’ai davantage confiance en moi, confiance dans les choses qui arrivent, je peux me poser, attendre, écouter. Je me sens de plus en plus en paix, j’ai une meilleure opinion de moi…

    Pour mon ex-mari, les tromperies, la maltraitance, tout ça c’est au passé. Et la paix qui grandit dans mon cœur depuis que je travaille avec l’EFT me permet de voir les situations se transformer. J’ai une maison à vendre, je n’ai pas encore retrouvé un boulot, mais les choses se décantent, une à la fois.

    Je retrouve confiance dans la vie et je crois à nouveau possible de pouvoir rencontrer quelqu’un, de pouvoir faire confiance à un homme, d’inscrire une histoire à deux dans le temps.

    Josie

     


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  • Je suis venue voir Johanne pour une problématique liée à ma capacité de gagner de l’argent, de me sentir le droit de gagner de l'argent, et d'avoir de l'argent. 

    Nous avons travaillé tout un tas d'aspects tels que le fait de le mériter, d'avoir le droit d'être "riche", de réussir, mais aussi de faire quelque chose que j'aime en gagnant de l'argent car les messages enregistrés pendant mon enfance étaient plutôt de travailler dur, et que le plaisir est très accessoire. 

    Petit à petit, nous sommes arrivées à ces images négatives que j'avais des gens riches, comme le côté hautain, méprisant ou cette idée que des personnes riches ont tous les droits parce qu'elles sont riches, et je ne voulais pas être comme elles. 

    Johanne m'a aidé à remonter à des souvenirs plus ou moins récents concernant mes parents. Ils n'ont aucun problème d'argent mais malgré tout, quand ils viennent chez moi, ils me "piquent" des choses ou utilisent les miennes pour économiser les leurs. Je ne sens pas d’amour, je ne peux pas me défendre, je culpabilise, je m’excuse… tout se mêle…

     

    C'est alors qu'un souvenir récent remonte: ma mère venant passer quelques jours chez moi profitait de mes produits cosmétiques pour économiser les siens, et le problème c'est qu'elle le faisait sans me demander quoi que ce soit. 

    J'ai pu sentir une émotion très forte me prendre dans le ventre et remonter dans ma gorge à ce moment là. Impossible de m'imaginer lui dire qu'elle pourrait au moins demander! Colère et sentiment d'injustice se mélangent. Comment pourrais-je me plaindre, de quel droit dire : "Ce sont mes affaires et je n'ai pas envie que tu les prennes, c'est tout, J'AI LE DROIT".

     

    Johanne m'aide à déposer cela en moi et que mes affaires, elles sont à moi. Je sens bien qu'il y a en moins une culpabilité à ne pas partager, à ne pas donner tout ce que j'ai. 

    Ma mère m’a appris… Des souvenirs de culpabilité remontent : si on ne donne pas, ne prête pas, on n'est pas gentil, on n'est pas quelqu'un de bien, et quand on a, et que les autres n'ont pas... c'est lourd, j'étouffe, ça m'écrase la poitrine.
    Je n'ai pas le droit d'avoir quelque chose à moi ! Ce que j'ai, tout le monde a le droit de me le prendre. Avoir des choses, avoir de l'argent : il faut partager. 

     

    Et puis cette question incroyable que Johanne me pose : "Quelle est la première chose que tu as eue à toi ? Est-ce que tu t'en souviens? "

     

    Je réfléchis, remonte le temps... je cherche... ce n'est pas possible, il y a bien un truc que j'ai eu le sentiment de posséder, une chose que je n'ai pas eu à partager, à prêter ou à donner!
    Tout le monde a quelque chose à lui, quelque chose de personnel... je suis déconcertée par le fait de ne rien trouver, c'est impossible. Et plus je remonte le temps, plus je me dis : "Ca craint ! C’est impossible que rien ne me vienne ! ". 

    Et là,  la lumière jaillit : MON DOUDOU.

    Le voilà mon truc à moi, rien qu'à moi, quelque chose qu'on n'a pas le droit de me prendre.

    J'ai senti en moi que c'était bien plus qu'un doudou. Ce doudou, c'était comme une partie de moi : un mini-moi réconfortant, apaisant, et plus étrangement, c'était comme s'il était vivant, qu'il me donnait de l'amour, de la tendresse, comme s'il remplissait un vide. Mon doudou, c'était celui qui m'aimait telle que j'étais, il ne faisait jamais de mal. Il me donnait de la douceur et du réconfort. C'est comme s'il était la partie supérieure de mon âme, pleine de tolérance, de compassion et d'amour inconditionnel. 

    Il n'a même pas de visage, c'est un simple mouchoir. 

    Aujourd'hui, il m'accompagne, il ne prend pas de place, et si j'en ai besoin, il est là. C'est différent de quand j'étais petite mais je l'aime bien et il me rappelle que je peux m'aimer telle que je suis et si j'en doute par moment, je le tiens dans ma main et ça me fait du bien. 

     

    Note de Johanne :

    Merci à Gwendoline pour cette magnifique illustration qu’apaiser notre relation à l’argent est une vraie démarche de construction personnelle.

    Si nous l’avons oublié, souvenons-nous que l’argent est une création humaine, donc entaché de toutes sortes de croyances et jugements. Un beau terrain de jeu pour l’EFT qui, rappelons-le, nous propose la Liberté Emotionnelle. Rien que ça !!!

    Et j’aime encore remarquer qu’AVOIR est un AUXILIAIRE, et qu’un auxiliaire, c’est « l’aide », celui qui « apporte son concours »...

     

     


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